Une classique tentante, tentée, réalisée… Un parcours ardu à la hauteur de sa réputation; l’entreprise est longue et comporte quelques passages « malaisés ».
Se succèdent le glacier et le Rognon des Nantillons, l’ascension des Grands Charmoz (avec notamment la fissure Burgener), la traversée accidentée de leur arête (de la brèche « 3241 » au sommet du couloir en passant par le Bâton de Wicks), l’ascension du Grépon (avec notamment la pénible fissure Mummery, le Trou du Canon, la boîte aux lettres, le râteau de chèvre, la vire à bicyclette et la délicate fissure en Z sous le regard de la vierge du Grépon), la descente en de nombreux rappels, le glacier et le Rognon des Nantillons…
Nous avons choisi de faire la course en deux jours et de bivouaquer sur l’arête. La météo était parfaite et la nuit sur l’arête magique.
Deux cordées de complices sur cet itinéraire : Sylvain et Philippe, Stéphane et André.






























Une belle aventure!
